Le 6 mars, à Loveland (Colorado), un engin incendiaire est lancé sur une concession Tesla, provoquant un départ d’incendie entre deux véhicules. Une personne a été arrêtée une semaine plus tard pour cette attaque. Ce même concessionnaire avait déjà été attaqué quatre fois entre le 29 janvier et le 11 février, et une personne a été arrêtée pour ces quatre premières attaques. Elle a depuis été libérée sous contrôle judiciaire. Elle a plaidé non coupable pour des inculpations de « double possession d’une arme à feu non enregistrée comme engin destructeur » et « destruction malicieuse de propriété » plus tôt dans la semaine dans l’affaire menée par le tribunal du Colorado, sa date de procès devant se faire avant le 14 mai. Sa prochaine convocation au tribunal est prévue le 21 mars au tribunal de Fort Collins (sachant qu’elle est poursuivie à la fois fédéralement et localement, donc deux inculpations différentes pour la même affaire).
Le 9 mars, au concessionnaire Tesla de Seattle (Washington), quatre Tesla Cybertruck ont été incendiées : une a été complètement détruite, une seconde gravement endommagée, et les deux dernières n’ont que des dégâts légers.
Le 13 mars, le concessionnaire Tesla de Tigard (Oregon) a de nouveau été attaqué à l’arme à feu. Plus d’une dizaine de tirs sur le concessionnaire ont grandement endommagé les véhicules et vitres (restantes). Le 6 mars déjà, à Tigard, sept balles avaient été tirées dans les vitres d’un autre concessionnaire Tesla [repris de sans nom]
Le 7 mars, à North Charleston (Caroline du Sud), une personne a incendié trois chargeurs de Tesla au cocktail molotov dans un parking, puis y a tagué « longue vie à l’Ukraine » et des insultes en direction de Trump. Le 8 mars, au concessionnaire Tesla de Lynnwood (Washington), six Tesla ont été taguées avec des menaces de mort à l’encontre d’Elon Musk et des références à son idéologie nazie. Le 11 mars, à Dedham, deux Tesla Cybertruck ont été taguées et leurs pneus crevés au passage. Une troisième Tesla a aussi été endommagée.
Le 10 mars, une énorme cyberattaque a touché le réseau social twitter. La connexion était impossible pour des millions de personnes entre 11 heures et 19 heures. L’action est revendiquée par « Dark Storm Team », un groupe de hackers pro-palestinien, qui a déjà annoncé vouloir s’en prendre aux sites web gouvernementaux des pays de l’OTAN, de Israël, et de ses soutiens. [repris de la chronologie de la grappe]
