Initialement publié sur unoffensive animal, le 30/07/2024.
17 juillet. Dans un coin de territoire occupé par l’État oppresseur d’Argentine. En solidarité avec les militant.e.s de 269 Libération Animale qui ont bloqué un abattoir en Suisse, et n’ont pas pu libéré une seule vie, quatre anarchistes et antispécistes ont libéré six poules d’une ferme.
Après avoir repéré les alentours et l’intérieur de la ferme, iels ont décidé de ne pas perdre un instant et d’agir, tout en sachant que la maison du fermier était adjacente aux fermes.
La nuit et le froid les ont accompagnés et, après avoir coupé le grillage pour accéder à la ferme, iels n’avaient plus qu’à ouvrir les cages, ce qu’iels ont fait !
Beaucoup y sont restées, et nous en avons vu énormément bouger dans le noir entre leur bruit et celui des rats. C’est un sentiment horrible de ne pas pouvoir toutes les libérer, mais au moins ces six là ne seront plus exploitée.
De l’ALF, même si la ville est assiégée de caméras et de contrôle social, nous continuons à lutter contre le système spéciste envers et contre tout. Libération Animale !
[une vidéo de l’action est disponible sur unoffensive animal]
Initialement publié sur unoffensive animal, le 04/08/2024.
3 Août 2024. Depuis la côte de Buenos Aires, Argentine. Nous prenons toute opportunité possible d’attaquer l’exploitation des animaux et ceux qui la perpétuent.
Nous nous fichons de savoir si les exploiteurs sont riches, ou s’ils ont peu de ressources, nous n’y voyons aucune différence. En l’occurrence, nous avons trouvé des filets privés qui
appartenaient à une personne horrible, et nous n’avons pas douté une seule seconde pour saisir le moment !
Nous les avons détruits autant que nous le pouvions, faisant d’énormes trous d’un bout à l’autre, les rendant inutilisables.
Avec cette action, nous répondons à l’appel pour saboter la pêche, et nous appelons d’autres à nous rejoindre !
Nous restons du côté de la nature sauvage, et contre l’humanité anthropocentrique.
Nous saluons tous les cœurs rebelles qui ne sont pas vendus au capitalisme vegan.
A la pêche, saboteur.e.s !