Publié sur IAATA le 06/12/2025, traduit de Freedom News le 18/11/2025.
Une attaque maoiste sur des anarchistes à Athènes a démontré une culture politique formée par des habitudes patriarcales de commandement.
Des milliers ont prit la rue à travers la grêce le 17 novembre, en mémoire de cell.eux tué.es pendant le soulevement de 1973 à Polytechnique, quand des étudiants ont été abattu.es alors qu’iels se levaient contre la dictature des colonnels. A Athènes, plus de 6000 flics anti-émeutes étaient deployés contre la manifestation et le rassemblement à l’extérieur de l’ambassade des états-unis, avec des véhicules blindés fermant la marche afin de décourager une participation nombreuse.
Plus tôt, au matin du 15 novembre, autour de 150 membres du groupe maoiste ARAS sont descendus sur le campus de Polytechnique à Exarcheia pendant les préparations pour les commémorations annuelles de la révolte de 1973. Ils ont entouré un petit groupe d’étudiants anarchistes et anti-autoritaires, on lancé une attaque coordonnée et répétée, et ont en laissé plus d’une douzaine hospitalisé.es avec des commotions cérébrales, des os brisés, et des blessures graves à la tête – incluant des personnes inconscientes tabassé.es. Les attaquants ont opéré derrière un cordon humain serré, les portails du campus étaient verouillés, et des centaines d’autres organisations de gauche présentes étaient incapables d’intervenir. L’événement a été condamné publiquement par la majorité des organisations gauchistes et anarchistes de grèce. Continue reading « Athènes, Grèce : Une gauche qui porte l’état dans son coeur »




